Lors de mes deux derniers billets, je vous ai parlé de mon obligation à faire un break puis du fait que j’allais passer à l’écriture de plusieurs nouvelles destinées à un public adulte. J’ai déjà
publié mon premier texte qui a déjà reçu nombres de
commentaires positifs. Je vous en livre un long extrait ci-dessous pour que vous puissiez vous en faire une idée et venir grossir les rangs des inscrits sur la plateforme où elle est d'ores et déjà disponible dans son intégralité.
Bien évidemment pour des raisons évidentes vous comprendrez que j’ai censuré certains passages et arrêté l’extrait au moment opportun…
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Un matin, alors que j’arrive toujours très tôt au boulot et souvent le premier, je suis surpris de voir Martine en train de s’activer dans son bureau. Je viens lui faire la bise en me baissant comme il se doit vu sa petite taille, dans les un mètre cinquante (pour près de quarante kilos, je pense) en posant ma main sur son épaule. Je lui demande si tout va bien, ce à quoi elle me répond que le déménagement aura lieu plus tôt que prévu en début de semaine prochaine au lieu des trois semaines prévues initialement. Je lui demande alors sur un ton compatissant :
— Ah merde, t’as su ça quand ?
— Hier soir, par mail, apparemment Hélène a fait le forcing auprès de Pierre (notre directeur). Je m’aperçois qu’elle a de la rancœur contre sa jeune collègue alors qu’elle paraît déjà fatiguée et en sueur en ayant à peine commencé son rangement.
— Humm, ouais je vois. Du coup, tu dois tout ranger aujourd’hui ? Regardant l’étendue de son bureau, des tonnes de dossiers et des armoires à vider, je me dis que la pauvre va bien morfler.
— Oui, Chantal (une autre assistante d’une trentaine d’années) devait m’aider mais elle est en congé. C’était pas prévu si tôt.
— Ouais, ok ok, ça va aller. Je vais déjà essayer de t’aider un peu ce matin avant que les autres arrivent et après on verra lui dis-je pour tenter de la rassurer
— Ah merci c’est gentil Sam. Elle me sourit un peu rassurée.
— T’inquiète tu vas t’en sortir. Je vais poser mes affaires et préparer un café et je reviens.
— D’accord, je continue à faire des cartons.
Je lui souris en la voyant avec un carton à plier dans une main et un rouleau de chatterton dans l’autre.
Je m’éclipse quelques minutes pour aller poser mon sac et ma veste, faire un tour aux toilettes et préparer une cafetière, dans cet ordre, avant de revenir rejoindre Martine dans son bureau. Je me demande si j’ai bien fait de me proposer à l’aider alors que l’on est vendredi et que je pensais passer une journée pépère avant le week-end.
Elle est sûre la pointe des pieds en train d’essayer d’attraper des dossiers suspendus dans l’une de ses armoires. J’en profite un instant pour remarquer sa tenue du jour : des hauts talons comme toujours pour compenser sa taille, des bas blancs, avec une petite jupe noire volante assez courte, une petite veste noire et un chemisier blanc. Un petit foulard autour du cou et toujours ses nombreuses bagues aux mains et un maquillage assez prononcé pour faire oublier les nombreuses rides naissantes qui commencent à apparaître sur son visage. Son rouge à lèvres est mauve, comme ses longs ongles parfaitement entretenus.
— Attends bouge pas, j’arrive. Je me précipite vers elle pour attraper les dossiers en lui souriant et les dépose rapidement sur son bureau.
— Ah merci. Elle rougit un peu alors que je vois déjà quelques perles de sueur sur son front.
— T’inquiètes c’est rien. Ce que je te propose de faire, c’est que je m’occupe de descendre les dossiers et toi tu les tries avant de les mettre dans les cartons, okay ?
— Oui d’accord, ce sera plus simple comme ça. Elle me sourit et je lui fais un petit clin d’œil qui ne manque pas de la faire rougir encore un peu en baissant un peu les yeux.
Nous commençons donc l’opération et après quelques minutes, je sens déjà que je commence à transpirer sous ma chemise et que ma cravate me sert. Je regarde Martine à l’œuvre, en soufflant un grand coup et en défaisant le premier bouton de ma chemise pour desserrer mon nœud. Elle me regarde un peu amusée alors que la température ambiante n’est pourtant pas très chaude grâce à la climatisation déjà en marche.
— Je te remercie vraiment de m’aider Sammy me dit-elle alors qu’elle aussi semble avoir chaud et enlève sa veste et même son foulard fin pour les poser sur le dossier de sa chaise. C’est assez inhabituel car elle n’enlève rarement, l’été lors de fortes chaleur, les foulards qu’elle abhorre car elle porte rarement de soutifs. Il faut dire qu’elle doit avoir deux œufs au plat en guise de seins et qu’ils ne doivent pas vraiment la gêner au quotidien.
— Non c’est rien. Tu me revaudras ça lui dis-je sur un ton un peu taquin en essayant de deviner un peu ce qui se cache sous le fin tissu blanc où il me semble distingué deux fines bretelles.
— Oui, oui, pas de problème, on verra ça me répond-elle visiblement amusée, déboutonnant elle aussi le premier bouton de son chemisier.
Nos yeux se croisent un instant alors que nous nous sourions mutuellement et nous reprenons nos tâches ingrates alors que je finis par vider la première armoire et m’interromps avant de commencer la seconde. Je lui dis que je vais nous chercher du café.
Je reviens quelques instants plus tard avec un mug dans chaque main et la vois au milieu de la pièce sur les talons en train de ramasser des dossiers et des feuilles éparses qui doivent venir d’une des piles se trouvant sur son bureau. Je me dépêche de poser les mugs sur la petite table de réunion sur le côté de la pièce et viens me mettre devant Martine pour l’aider à ramasser ce qui traîne au sol.
— Non mais faut pas que je m’absente plus de deux minutes avec toi, sinon la prochaine fois je risquerais de te voir sous une armoire qui t’es tombé dessus dis-je sur le ton de la plaisanterie.
— Ah oui pardon, je voulais commencer à mettre dans les cartons et j’ai été trop vite… s’excuse-t-elle un peu gênée de la situation.
— Nan, t’inquiètes c’est rien.
Je joins le geste à la parole pour ramasser le tout sans manquer de profiter malgré moi du spectacle que m’offre Martine sans le savoir ou n’y prêtant pas attention. Je peux maintenant parfaitement voir qu’elle porte bien des bas blancs mais non pas attachés à un porte-jarretelles comme je l’avais d’abord imaginé mais plutôt à ce qui doit être une guêpière en dentelles fines d’un bleu très clair.
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Finalement elle se relève un peu avant moi et je suis du regard ses jambes un instant avant de faire de même. Je lui souris en lui donnant mon paquet de feuilles et viens prendre son mug que je lui tends. Elle l’accepte volontiers et j’attrape le mien pour le porter à mes lèvres.
— Humm, ça fait du bien.
— Humm c’est vrai oui.
Elle a retrouvé un peu le sourire alors qu’il me semble la voir regarder vers mon pantalon par instants. Nous discutons de tout et de rien quelques minutes en buvant notre café chaud qui n’est pas fait pour nous rafraîchir et, malheureusement, reprenons là où nous en étions restés. Je lui propose finalement de vider la seconde armoire en posant le tout sur sa petite table pour qu’elle puisse faire son tri avant de tout mettre en carton ou à la poubelle. Je lui dis que j’irais ensuite travailler dans mon bureau mais que je peux revenir pour la troisième armoire ce midi pendant la pause déjeuner si elle va me chercher un petit sandwich pour compenser mon travail. Elle est ravie de l’idée et vient vers moi en me demandant de me baisser un peu. Je la regarde sans comprendre.
— C’est pour te refaire le nœud de cravate, idiot !
— Ah oui pardon désolé je ne comprenais pas ce que tu voulais.
Je lui souris en me courbant en deux alors que ces deux mains viennent tirer dessus pour me l’enlever alors qu’elle s’est mise sur la pointe des pieds pour y arriver. J’en profite pour jeter un œil au creux de son chemisier plus ouvert que tout à l’heure et effectivement elle porte une guêpière fine assez sexy qu’il me plairait de voir entièrement.
— Ah non vraiment t’es trop grand. Assieds-toi sur mon fauteuil là. Elle me fait signe de la main de m’y mettre en exerçant une petite pression sur mon torse.
J’obéis en me mettant bien droit devant elle et ne me faisant pas prier pour écarter les jambes et lui permettre de se mettre au milieu. Je pose mes deux bras sur les accoudoirs et la laisse faire. Elle se penche un peu vers moi pour me reboutonner d’abord ma chemise et soulève mon col. Je fais une petite grimace exagérée pour lui montrer que ça serre et elle me lance « Non mais tu rigoles, t’as fait comment pour te la mettre ce matin ? ». Je lui fais un petit sourire espiègle sans répondre alors qu’elle s’approche encore davantage et vient buter sur le rebord du siège. Je ne peux m’empêcher de passer une de mes mains sur sa taille pour la retenir alors qu’elle se cambre pour passer la cravate derrière mon cou. J’en profite aussi pour humer son doux parfum et jeter un coup d’œil à la vue plongeante qui s’offre à moi alors que ma seconde main vient se poster sur son autre hanche. Elle sent si bon.
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Elle ne semble pas se soucier de moi et continue d’ajuster ma cravate en commençant à la tourner et retourner pour faire la boucle. Elle pose soudain un genou sur le rebord de la chaise pour rester à l’équilibre et je fais un petit mouvement de recul sur mon siège de peur qu’elle ne touche mes parties intimes.
Elle rigole en me lançant « T’inquiètes pas je ne vais pas t’écraser les bijoux de famille ». Elle me regarde un instant voyant bien que je mate son décolleté mais ne dis rien et souris avant d’en finir avec mon nœud. Elle se relève un peu pour tirer finalement dessus pour finir son ouvrage et je fais la moue pour lui montrer que ça sert trop. Au même moment, ma main gauche en profite pour descendre un peu sur le haut de ses fesses. Elle n’y prête pas vraiment attention en passant ses doigts fins entre mon col et mon cou pour me laisser un petit espace pour respirer. Ma main descend encore un peu et je serais presque tenté de lui soulever un peu la jupe pour passer dessous mais c’est le moment qu’elle choisit pour me sortir un peu de ma rêverie.
Elle se redresse et pose sa main sur la mienne qu’elle descend sur le galbe de ses fesses un instant pour que j’aie une meilleure prise.
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— Allez c’est tout non mais ho, on a du travail. T’allais quand même pas t’imaginer des trucs dégoûtants, hein ?
Elle prend ma main et la soulève pour venir me faire un tendre bisou sur le dessus.
— Maintenant, file, les collègues vont arriver et je voudrais pas qu’ils se fassent de fausses idées sur nous.
Elle réajuste sa jupe en se cambrant un peu et reste souriante en me faisant signe qu’il est temps de partir. J’ai un peu de mal à réaliser ce qui vient de se passer mais j’obtempère en faisant la grimace du petit enfant déçu qui n’a pas eu le droit à son bonbon. Je récupère mon mug, et me retourne une dernière fois sur le pas de la porte pour la regarder une dernière fois alors qu’elle est déjà en train de s’activer sur les dossiers posés sur son bureau. Elle soulève la tête un instant avec une mine plus radieuse que lorsque je l’ai trouvée ce matin.
Le reste de la journée est assez monotone hormis le déjeuner du midi pendant lequel nous échangeons un peu sur la « Promotion Canapé » d’Hélène.
Alors que la fin de journée approche et que la majorité des collaborateurs ont déjà plié bagage, je vais voir comment elle s’est débrouillée sans moi. J’entre dans son bureau et ne la vois nulle part. Après un rapide coup d’œil, je me décide à l’appeler et en me répondant je m’aperçois qu’elle est derrière son bureau en train d’essayer de débrancher les fils électriques de sa lampe, de son pc et de ses autres appareils électriques (fax, imprimante, cafetière…). Elle a les traits du visage marqués par la fatigue. Je remarque aussi rapidement que son chemisier est à moitié sorti de sa jupe et qu’elle a enlevé un ou deux boutons supplémentaires dans l’après-midi car j’ai une vue imprenable sur le haut de sa lingerie fine superbement envoûtante. Je reste un instant sans bouger comme hypnotisée par cette belle image avant de réagir pour venir l’aider à débrancher les câbles. Je me baisse pour voir ce que je peux faire et je lui dis rapidement :
— Je m’en occupe, regarde plutôt en haut de ton bureau pour tirer dessus et les faire passer par le trou sur le côté.
Elle se relève en soufflant un grand coup par soulagement alors que je la prends par les hanches après que j’ai fait le tour pour la rejoindre. Je m’abaisse alors qu’elle passe pour se positionner au-dessus de moi pour faire ce que je lui ai demandé. Je commence à débrancher successivement deux câbles d’une multiprise et lui demande si elle arrive à tirer dessus. Elle me répond positivement alors que je reste un instant la tête tournée à regarder ses jambes et le haut de ses cuisses où je vois qu’une attache s’est détachée d’un de ses bas lorsqu’elle pose l’un de ses genoux sur le rebord de son bureau pour essayer de tirer plus facilement sur les fils.
Nous continuons progressivement et réussissons fil par fil lorsque soudain l’un d’entre eux ne semble pas vouloir coopérer, sans doute coincé entre le mur et son meuble.
Elle me dit que c’est le fil de sa grande lampe électrique et je lui demande de voir si elle peut la tenir alors que je vais essayer de tirer un peu dessus pour la faire passer par mon côté. Sans grand succès. Je décide alors de sortir discrètement d’où je suis pour voir si je peux l’aider autrement. Je me relève donc et reste scotché à la vision qui s’affiche devant moi.
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À bientôt !
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